En intégrant son nouveau poste, Mathilde découvre une population très masculine. Tous travaillent ensemble depuis des années et aiment à plaisanter. Mathilde, ouverte d’esprit et très sensible aussi à l’humour, pense pouvoir s’intégrer facilement au sein du groupe.
Rapidement, elle s’aperçoit que les blagues déplacées et les expressions sexistes de son collègue Etienne la mettent mal à l’aise au quotidien.
Convoqué par sa supérieure hiérarchique, Etienne ne comprend pas qu’elle lui demande d’arrêter ses plaisanteries : pendant des années, cela n’a posé de problème à personne alors pourquoi, maintenant, faudrait-il que cela cesse ?
Est-ce une forme de censure ou le début d’une prise de conscience pour Etienne ?